Le monde entier est un théâtre,
et tous, hommes et femmes,
n'en sont que les acteurs.
Comme il vous plaira, Acte II, sc. 7

jeudi 31 décembre 2015

Et pour finir l'année dans la joie et la bonne humeur...

Animation pour le réveillon:


Un peu d'économie:



(ça date un peu mais c'est paradoxalement encore + d'actualité qu'à l'époque!)

Un peu de politique:

Et 'spécial dédicace' au TSA:


A l'image de 2015 (et des années à venir!):


Bonne année 2016 !

Le canon électrique [rail gun]

Encore un canon qui peut tirer jusqu'à 180 km sans pour autant avoir à ajuster pour la rotation ou la courbure terrestres (et encore moins la force de Coriolis). Vidéo non sous-titrée, c'est juste pour vous donner une idée de la bête...

mercredi 30 décembre 2015

Montrer la forme de la Terre


Bill Nye & 'Da Grassy Knoll' Tyson sont dans un bateau...

  Les 2 clowns qui tiennent la Terre sphérique...



Mettons que je croie que la Terre est plate et vous croyez
que la Terre est ronde. N'ai-je pas droit à + de tps de parole
pour développer mon argument vu que j'aurai + de mal
à convaincre les gens?

Vous avez le droit de dire que le monde est plat parce que
nous vivons dans un pays qui garantit votre liberté de parole,
mais ce n'est pas un pays qui garantit que ce que vous dites est correct.

Ô puissant Gyro...


J'étais tenté de traduire la vidéo ci-dessus mais j'en ai déjà fait plusieurs sur le sujet... Le gyroscope est l'instrument qui prouve que nous sommes sur une surface plane. Le gyro d'un avion reste à l'horizontal pendant n'importe quel vol (en dehors de l'atterrissage et du décollage) et ne suit pas la supposée 'courbure terrestre.' Les imbéciles écrivent que le gyro se déplacent pour suivre la rotation terrestre. Ceux qui font l'expérience, comme dans la vidéo ci-dessus, comprennent bien que ce n'est pas le cas. Pendant plusieurs minutes, le gyro reste à sa place alors qu'on est censé avoir parcouru plusieurs milliers de km vu la vitesse de rotation terrestre.

Personne ne pourra jamais 'débunker' un gyroscope.

Problème de plan de vol, chapitre 7


Saviez-vous qu'il faut 28 h de trajet pour aller d'Apia (G) à Pago Pago (D), pour un trajet de 124 km?
'A la nage?', demandez-vous. Nope, en bon vieil avion...

Tycho Brahe

 

Il n'y en réalité pas de sphères dans les cieux... Celles qui ont été
inventées par les experts pour sauver les apparences n'existent que
dans l'imagination, dans le but de permettre à l'esprit de concevoir
le mouvement effectué par les corps célestes dans leur course et,
à l'aide de la géométrie, de déterminer ce mouvement par calcul
à travers l'utilisation de l'arithmétique.


Dans une lettre à Christoph Rothmann, un astronome copernicien,
Tycho se servit de géométrie de base pour montrer que, en supposant
une légère parallaxe échappant à la détection, la distance entre les étoiles
dans le système copernicien devrait être 700 fois + grande que la distance
entre le Soleil et Saturne. De plus, la seule façon pour que les étoiles
puissent être aussi distantes tout en apparaissant être de la taille
qu'elles semblent avoir dans le ciel  serait si même les étoiles moyennes
étaient gigantesques - au moins aussi grosses que l'orbite de la Terre,
et bien entendu bien + grandes que le Soleil. Et, Tycho ajouta, les étoiles
les + proéminentes devraient être encore + grosses. Quid si la parallaxe
était encore + petite que tout le monde pensait, indiquant que les étoiles
étaient encore + éloignées? Alors elles devraient être encore + grosses.

dimanche 27 décembre 2015

Hors sujet n°4 - Salut les esclaves!

Nous allons nous intéresser au droit anglo-saxon pour cet article. Inutile de chercher l'équivalent en droit français, cela n'existe pas.

Pour faire la distinction, en gros, imaginez qu'aux États-Unis, les individus souverains préexistent l'État. Ils occupent un territoire, sont libres, et décident de leur propre volonté de céder une partie de leur pouvoir et de leur liberté afin de faire exister un gouvernement qui s'occupera de certaines tâches que les individus ne peuvent accomplir. En France, à l'inverse, l'État préexiste les individus. Au territoire national est forcément associé un type de gouvernement, quelles que soient les circonstances, et ce gouvernement, dans sa grande générosité, accorde des droits, des libertés, et des devoirs aux citoyens qui occupent le territoire qu'il gouverne.
Dans le 1er cas, les gens sont libres, dans le 2nd, ils ont les libertés que leur accorde l'État.

Bref, tout au long du XXème siècle (1913, 1933, 1971...), mais encore plus à partir de 2001, la situation a commencé à s'inverser aux États-Unis et dans le monde anglo-saxon en général: les libertés accordées par la Constitution ont disparu comme peau de chagrin afin de 'protéger' les individus. Certaines personnes s'en sont rendu compte et ont décidé de réagir, ce sont les 'souverainistes,' les 'freemen = hommes libres,' etc.

La 1ère vidéo commence par un extrait d'un discours du Sénateur James Traficant [sic et RIP] lors de la 103ème session de mars 1993 :


Comme on le voit dans les archives, seules les 3 1ères phrases sont tirées de ce discours, le reste a probablement été ajouté par l'auteur original du texte, ce qui ne le rend pas pour autant invalide. Les États-Unis ont bien fait faillite dès 1933.


Comment a commencé cette faillite des États-Unis? Par l'incorporation de la société "États-Unis d'Amérique" en 1925 en Floride:



La raison sociale de cette société lui permettant d'effectuer toutes les tâches afférentes au 'gouvernement fédéral' des États-Unis d'Amérique [vidéo non traduite]:


La faillite été provoquée par la crise de 1929 et les conséquences économiques qui ont suivi. L'Emergency Banking Act de 1933 - voir les Crongressional Record de mars 1933, 73ème Congrès, 1ère session, page 50 [explications en anglais] - puis le vote de la Résolution Jointe de la Chambre n° 192 du 5 juin 1933 ont mis fin à la clause de l'or [même si la convertibilité a continué jusqu'en 1971], et l'argent a perdu son statut [plus gagé par quoi que ce soit] pour être remplacé par une monnaie fiduciaire.

Quelle a été une des conséquences de cette faillite des États-Unis? L'instauration de l'acte de naissance pour permettre de gager les citoyens en échange du non remboursement du principal de la dette publique.

Une autre? L'IRS - soit la Direction Générale des Impôts - créé en 1933, un organisme privé, comme la Fed [dénoncée comme tel dès 1932 par le Sénateur McFadden - voir Congerssional Records de juin 1932], qui braque les gens qui doivent des arriérés et les prive de passeport!



La bonne nouvelle - pour les anglo-saxons - c'est qu'ils peuvent se libérer et qu'un certain Robert Menard de Colombie Britannique, entre autres, les y prépare depuis quelques années :


Il y a plein d'autres anecdotes croustillantes dans le domaine juridique, notamment les définitions du jargon des avocats comme vu dans la bible qu'est le Black Law Dictionary mais il serait inutile de rentrer dans les détails, vu que ça nous amènerait un peu loin.

jeudi 24 décembre 2015

Joyeux Noël!


Amazing Grace (2009)


2015


Carol of the Bells (2007)


Wizards in Winter (2012)


2014:

lundi 21 décembre 2015

A rumor is not a rumor that doesn't die

Flat Earth

Mark Sargent et Patricia Steere ayant leur émission radio, ils ont droit à leur page sur IMDB:




Et on voit des articles sur la Terre plate de temps en temps sur des sites divers et variés :


Une rumeur qui ne meurt pas n'est pas une rumeur.

Exercice en dépopulation

J'avais commencé un article sur ce sujet avant de constater qu'on m'avait coiffé au poteau habilement et avec succès : ici.

Je mets quand-même ce que j'avais écrit parce que c'est là...

Mettons que vous soyez une éminence grise de la planète Terre, une de celles dont tout le monde ignore l'existence mais qui tirent les ficelles en coulisse, tranquillement.

Mettons que vous aimez bien la Terre et, idéalement, vivre éternellement, mais vous trouvez qu'il y a trop d'indigents et de jean-foutre et que ces derniers vous coupent l'appétit. Ils ont été utiles, bien sûr, puisqu'ils vous ont permis d'établir votre fortune et d'acheter, littéralement, le monde, mais là ça commence à bien faire parce que la Terre commence à être sérieusement tout pourrie partout: la pollution des océans, des terres, la disparition des forêts, de la faune, etc.

Quoi faire, sachant qu'aucune option n'est inenvisageable ?

Mettons que vous soyez prêt à réduire la population, de sept milliards à, disons, 1 milliard (les Georgia guidestones donnent 500 millions mais Noël approche, alors soyons généreux).

Comment faire alors ?

Bien sûr, les mesures préventives sont toujours possibles : avortement (facile dans les pays développés où les partis sont à vos bottes, pour les pays en développement, moins lent à comprendre de quoi il retourne, il suffit de conditionner l’aide humanitaire à la généralisation de cette pratique), promotion de l’homosexualité, destruction de la cellule familiale, etc. Vous pouvez empoisonner l’eau et l’air (fluor, chemtrails…), les gens (vaccins), mais si le nombre de morts dépasse un nombre relativement faible, les gens vont quand-même s’en rendre compte.

Ce qui vous aidera, c’est une crise économique majeure, avec une rupture de la chaîne d’approvisionnement. La moitié de la population des pays développés vivant dans des villes, nombre d’entre eux ne feront pas long feu sans accès à de la nourriture.

Mais cela implique moins de 50% des ‘mangeurs inutiles.’ Alors vous avez besoin d’une guerre massive, chose relativement facile à organiser vu que les autres éminences grises des pays étrangers sont sur la même longueur d’onde. Il suffit de patience, de propagande, et de quelques false flags. Mais même si le ratio des morts civils par rapport aux morts militaires à évolué tout au long du XXème siècle en défaveur des civils, il va falloir faire beaucoup mieux que quelques batailles. Les virus vont vous aider – la grippe espagnole à tuer plus de gens que la 1ère guerre mondiale – mais ils ne feront pas tout.

Une fois que vous avez le prétexte, il vous faut des armes. Si les armes nucléaires existaient vraiment, cela aiderait formidablement, mais comme ce n’est pas le cas il faut trouver autre chose. [Et ce n’est pas une question de radiations : Hiroshima et Nagasaki n’ont jamais été abandonnées, et on a des films ‘un an après’ où on voit que la vie a continué sans pour autant que les habitants tombent comme des mouches suite aux « radiations radioactives mortelles. »] Il y a bien les armes chimiques (comme les ont vues van Rensburg et d’autres), mais cela détruit en même temps l’environnement, alors il faut que leur utilisation reste limitée.

Au final, votre meilleure arme, ce sont les gens eux-mêmes. Il faudra les amener au point où ils feront le boulot pour vous…en s’entre-tuant.

...

C’est pourquoi le soi-disant agenda de contrôle des armes des USA est un leurre. Le (vrai) pouvoir n’a aucun intérêt à ce que les gens soient désarmés, il a, en revanche, intérêt à ce qu’ils se tirent entre eux comme des canards à la fête foraine.
Le contrôle des armes a pu marcher dans un pays peu peuplé comme l’Australie – au prix d’une forte augmentation de la criminalité – mais dès que la population atteint une taille critique, cela devient ingérable. En Angleterre ils n’ont pas d’armes à feu, mais ils ont des armes blanches, à tel point qu’ils ont dû installer des poubelles pour recevoir ces armes (et accessoirement relever empreintes et ADN). Mais l’Angleterre a inventé les camps de concentration (au temps de la guerre des Boers, en Afrique du Sud), alors, comme nous l’enseigne l’histoire, ils s’en resserviront avant longtemps. Mais aux USA ils auront besoin que les gens soient armés pour pouvoir s’entre-tuer.

...

De même, la « crise » des immigrés en Europe est une aubaine. Une nation ethniquement homogène se retournera rarement sur elle-même en dehors de ces deux situations : famine généralisée ou conflit religieux. Plus vous mélanger la population, plus avez de chance de provoquer un troisième facteur, le facteur ethnique.

Avec tout cela – famine, guerre, maladies, racisme – vous aurez atteint une bonne partie de vos objectifs en milieu urbain.

Reste la campagne. Les pays les plus ruraux seront ceux dont les populations isolées seront les moins affectées. Production autonome de nourriture, éloignement des zones ‘chaudes,’ lien historico-ethnique feront que ces gens-là s’en sortiront mieux que les urbains/bobos.

...

Enfin j’dis ça…

dimanche 20 décembre 2015

Childhood's End

Traduit "Les Enfants d'Icare" en français. Roman de SF d'Arthur C. Clarke de 1953, vous savez, le type qui a inventé les satellites...

La série TV en 3 épisodes vient tout juste de sortir est c'est un petit bijou alternant entre vœu pieux et 'predictive programming.' C'est SyFy, pas HBO, donc en terme de qualité ce n'est pas le top même si c'est le message qui importe, et il n'y a pas non plus de seins nus toutes les 5 minutes.

En gros: les ET débarquent et sauvent le monde! Ils mettent fin à la famine, aux guerres, aux injustices, etc. Les humains vivent une véritable utopie jusqu'à ce que...**here be spoilers**

Des hippies - des hippies partout.

Ils veulent sauver la Terre mais tout ce qu'ils font
c'est fumer de la beuh et sentir mavais.

Pendant longtemps les ET restent dans l'ombre. Pourquoi? Parce qu'ils ressemblent aux démons!
Ouaip, le diable vient 'sauver' l'humanité d'elle-même et lui permettre de mettre fin à son enfance [Childhood's End] et de passer à l'âge adulte, comme ordonné par 'l'overmind' [Dieu].

When Kerallen arrived, he killed the need for God.

Quand Kerallen a débarqué, il a tué le besoin de Dieu.

C'est pour notre bien tout ça! Autant dire que ceux qui ont la foi se sentent abandonnés et bcp se suicident...

Je n'ai jamais lu le livre mais comme d'hab il est mieux que l'adaptation, apparemment. Je conseille quand même la série dès qu'elle sera diffusée sur les chaînes françaises ou dès que les S-T seront dispos pour les méchants pirates-graine-de-terros. Ça vous donnera une idée de comment les choses peuvent se dérouler dans les années à venir. Le livre / l'adaptation sont gnangnan, bien sûr, ils n'est pas fait mention des camps FEMA et autres, et ceux qui veulent vivre en dehors de l'influence des ET sont libres de le faire [c'est là que c'est pas crédible], mais ça ouvre quand-même les yeux.

samedi 12 décembre 2015

Australie, Everest, Fret Maritime



The Party




The party, film avec Peter Sellers.
Sur le front de l'éléphant on peut voir "THE WORLD IS FLAT"

De inferno

Il [Lucifer] connaît les faiblesses de chacun de nous, nos désirs mesquins ; il connaît ce qui déclenche notre vanité ou notre cupidité ou notre luxure ou notre cruauté. Nous n’avons pas de secrets pour lui. Il a réalisé à la main des tentations pour chacun de nous ; il a parsemé notre chemin de mille façons de dévier vers les ténèbres. Et une fois qu’il a attiré avec succès notre âme dans son royaume – une fois qu’il a gagné, à nouveau – pensez-vous que Satan se contentera de laisser l’âme dans un enfer générique ? Pensez-y à deux fois, mes amis : pensez-y à deux fois. Celui qui connaît toutes nos faiblesses connaît aussi nos peurs. Même celles que l’on ne connaît peut-être pas nous-même. Et pour couronner sa victoire, pour que la souffrance de ses victimes soit suprême, il individualisera chaque enfer afin qu’il soit le plus insupportable possible à son occupant particulier. Et pire que tout, ce sera un enfer qui durera pour toujours. Toujours. Toujours. Pour certains, cela signifiera peut-être bien un lac de feu brûlant. Pour d’autres, cela signifiera peut-être une éternité enfermé dans un cercueil noir, immobile, sans lumière, sans parole, la folie doublant et redoublant au cours des lustres. Pour d’autres, cela signifiera peut-être, disons, une suffocation sans fin. Imaginez ceci un instant, mes amis. Imaginez que vous avez retenu votre respiration pendant deux, peut-être trois minutes. Imaginez le besoin désespéré d’oxygène, la torture exquise. Et pourtant en enfer, il n’y a pas de respiration, pas d’aspiration d’un l’air bon et doux. Il n’y a pas non plus l’absence d’expression de l’oubli. Il y a seulement ce moment d’agonie ultime, prolongé pour toujours.
[…]
« D’autres enfers sont peut-être plus subtils. Imaginez l’individu ayant toujours eu peur de devenir fou, le devenant au cours de décennies ou même de lents siècles. Puis recommençant le processus à nouveau. Et à nouveau. Ou imaginez la mère pleine d’amour, forcée de regarder – encore et encore et encore – comment après son propre décès son enfant glisse dans la pauvreté et le manque de soins, l’assuétude aux drogues, la dépression, les mauvais traitements, et la mort. »
            Ici il s’arrêta, et s’avança sur le bord du rocher.
« Prenez un moment pour réfléchir au pire enfer que vous puissiez imaginer pour vous-même. Ensuite réalisez bien que Satan, qui vous connaît encore mieux que vous ne vous connaissez vous-même, pourrait en fabriquer un bien pire. Ce qu’il fera. Il l’a déjà fait. À l’avance. Parce qu’il ne dispose que d’un unique baume pour sa douleur aiguë : le désespoir, les supplications désespérées, les cris et souffrances de ses victimes. »
            Buck fit une nouvelle pause. Il inspira profondément une fois, deux. Puis, dans une voix encore plus douce, il continua.
« J’ai dit qu’il existait un enfer pour chacun de nous. Cet enfer est là, qui nous attend chacun de nous. Satan a fait en sorte que votre enfer soit extrêmement facile à trouver, avec un chemin large et confortable menant droit à lui. Il est bien, bien plus facile pour nous de prendre les choses comme elles viennent, de se balader sans réfléchir le long de cette avenue étendue et plaisante, bien plus facile que de chercher l’embranchement ardu, caché, qui mène au paradis. Nous devons combattre l’attrait du chemin facile. C’est un combat, mes amis ; un combat à mort. Car c’est la seule manière – la seule manière – grâce à laquelle on va découvrir la piste exigeante menant au paradis. Je vous demande de vous en souvenir lors des épreuves que nous allons devoir affronter. »

Douglas Preston & Lincoln Child, Brimstone, 2004

mercredi 9 décembre 2015

YT


Quand lire les commentaires YT tu dois,
seule la douleur tu y trouveras. 


Dire que la bien-pensance unique se réclame de Voltaire...
Où est la tolérance ma bonne dame, je vous le demande...

Il faut cultiver notre jardin

ouaouh, ça s'enflamme...!


Les gens commencent à tomber par hasard sur la chaîne et ils se font plaisir à "débunker" tout ce qui s'y trouve....

[Castle, S06E05]

Une partie d'entre eux sont payés pour ça, afin de s'assurer que la pensée unique et la bien-pensance (la bien-pensance unique donc) triomphe, et surtout afin que vous gaspilliez votre énergie (parce que ça les embête que des gens ne pensent pas comme eux - "C'est des terros en puissance ça, ma bonne dame...").

Voilà l'effet des commentaires YT sur les expériences d'Airy, Sagnac, Michelson, Morley, Gale, etc...


Il est inutile de s'évertuer à convaincre qui que soit : nous ne serons jamais tous d'accord sur quelque sujet que ce soit, alors dites ce que vous avez à dire mais ne vous dépensez pas inutilement dans de longs échanges stériles. "Laissez leurs idoles aux païens," comme on dit.

Ceux qui débattent soit ne comprennent pas les expériences et les implications des expériences d'Airy, Sagnac, etc..., soit ils refusent de les accepter, soit ils sont payés pour vous emmerder, alors laissez-les crier dans le désert. Nous sommes face à des gens qui croient que les bulles d'air dans l'espace existent, qui pensent que les immeubles peuvent tomber tout seul, qui n'ont jamais vu la courbure terrestre mais croient qu'elle est là, ou pour qui ceci a du sens:


Ouh, la Terre est ronde parce que c'est la NASA qui le dit...


Il faut cultiver notre jardin.

dimanche 6 décembre 2015

Interlude musical

Un peu de vraie science: Big Bang et Evolution

Nous revoilà à enfoncer des portes ouvertes... En réalité, une fois que l'on considère la Terre plate, tout le reste - Darwin, Big Bang, physique quantique, géologie, dinosaures, etc... - s'effondre de soi-même. Je limiterai donc les articles sur ces sujets...

Big Bang:

Evolution:

Tout ça c'est comme les ETs, pour nous enfumer!

« …et avec toutes les séductions de l'iniquité pour ceux qui périssent parce qu'ils n'ont pas reçu l'amour de la vérité pour être sauvés. Aussi Dieu leur envoie une puissance d'égarement, pour qu'ils croient au mensonge, afin que tous ceux qui n'ont pas cru à la vérité, mais qui ont pris plaisir à l'injustice, soient condamnés. »

2 Thessaloniciens 2:10-12

Car nous n'avons pas à lutter contre la chair et le sang, mais contre les dominations, contre les puissances, contre les princes de ce monde de ténèbres, contre les esprits méchants dans les lieux célestes.

Éphésiens 6 :12

« L’enfer est vide, tous ses démons sont ici ! »

Shakespeare, La Tempête, Acte I, sc. 2

Memento Mori

« C’est une ville fascinante, » dit l’homme. « Cela fait tout juste vingt-quatre heures que je suis ici, mais je peux déjà dire sans avoir peur de me tromper qu’il n’y a rien de tel sur Terre que cette ville. Les grands immeubles, les limousines, les gens attirants. Cela éblouit les yeux, vraiment. C’est la première fois que je mets les pieds à New York. Et vous savez ce qui me frappe le plus, plus que l’éclat et le glamour ? C’est la hâte. Regardez autour de vous, mes amis. Regardez les piétons. Observez la vitesse à laquelle ils marchent, parlant dans leurs téléphones ou marchant droit devant. Je n’ai jamais rien vu de tel. Regardez les gens dans les taxis et les bus lorsqu’ils vous dépassent – même quand ils sont à l’arrêt ils semblent être pressés. Et je sais à quoi ils s’affairent tant. J’ai passé beaucoup de temps à écouter depuis que je suis ici. J’ai peut-être déjà écouté un millier de conversations, la plupart univoques, parce que les gens sur l’île de Manhattan semblent préférer parler dans leurs téléphones portables que de parler à des gens en chair et en os, face à face. À quoi s’affairent-ils ? Ils sont occupés avec eux-mêmes. Avec l’importante réunion de demain. Avec des réservations au restaurant. À tromper leur époux ou épouse. À poignarder un collègue de bureau dans le dos. Tout un tas de plans, de projets et de stratagèmes, aucun plus prévoyant que, disons, le séjour du mois suivant au Club Med. Combien parmi ces gens pressés pensent trente, quarante ans à l’avance – à leur propre mortalité ? Combien parmi ces personnes se pressent de faire la paix avec Dieu ? Ou pensez aux mots de Jésus à Luc : Je vous le dis en vérité, cette génération ne passera point, que tout cela n'arrive ? Bien peu, à mon avis. Si même il y en a. »
[…]
« J’ai fait autre chose depuis que je suis arrivé à New York, » continua l’homme. « J’ai visité des églises. Beaucoup d’églises. Je n’avais jamais imaginé qu’une seule ville, quelle que soit sa taille, puisse abriter autant d’églises. Mais voyez, mes amis, voici ce qui est triste. Peu importe combien de personnes peuplaient les rues dehors, j’ai trouvé chacune de ces églises vide. Elles meurent de faim. Elles périssent par manque d’attention. Même la Cathédrale de Saint Patrick – je n’ai jamais vu de site chrétien aussi superbe de ma vie – comptait une poignée de fidèles. Des touristes ? Oui, en effet, des centaines. Mais des dévots ? Moins que les doigts sur mes deux mains.
« Et cela, mes amis, et la chose la plus triste de toutes. De penser que – dans un lieu pourvu de tant de culture, tant de connaissances et sophistication – il existe un vide spirituel aussi grand. Je le sens autour de moi tel un désert, séchant la moelle même de mes os. Je ne voulais pas croire ce que je lisais dans les journaux, les histoires sordides qui m’ont amené ici presque contre ma volonté. Mais c’est vrai, frères et sœurs. Chaque mot l’est. New York est une ville vouée à Mammon, pas à Dieu. Regardez-le, » et il pointa du doigt un jeune homme dans ses vingt ans, passant sur le côté, bien habillé dans un costume rayé, caquetant dans un téléphone. « Quelle était, selon vous, la dernière fois qu’il a pensé à sa mortalité ? Ou elle ? » Il indiqua une femme portant des sacs marqués Henri Bendel et Tiffany’s, sortant d’un taxi. « Ou eux ? » Son doigt accusateur pointa deux étudiants, marchant main dans la main dans la rue. « Ou vous-même ? » Son doigt fit alors le tour de la foule. « Combien de temps cela fait-il que vous avez pensé à votre propre mortalité ? Cela prendra peut-être une semaine dix ans, ou cinquante – mais elle approche. Aussi sûr que mon nom est Wayne P. Buck, elle approche. Êtes-vous prêt ? »
[…]
« Je me moque que vous soyez un banquier d’investissement à Wall Street ou un travailleur émigré à Amarillo [Texas], la mort ne souffre d’aucun préjudice. Grand ou petit, riche ou pauvre, la mort nous aura tous. Les gens au Moyen Âge en étaient conscients. Nos ancêtres eux-mêmes en étaient conscients. Observez de vieilles pierres tombales et qu’est-ce que vous y verrez ? L’image de la mort ailée. Et probablement les mots memento mori : ‘souviens-toi que tu vas mourir.’ Pensez-vous que ce jeune homme s’arrête jamais pour y réfléchir ? Fascinant : tous ces siècles de progrès, et pourtant on a perdu de vue cette vérité fondamentale qui a toujours, toujours été la première pensée de nos ancêtres. Un poète du passé, Robert Herrick, l’a exprimé ainsi :

« Notre vie est brève, et nos jours s’éloignent
Aussi rapidement que le Soleil ;
Et, tel de la vapeur ou une gouttelette de pluie,
Une fois perdue, ne peut jamais être trouvée à nouveau. »
[…]
« Ce jeune homme ne s’arrête pas pour réfléchir au fait que chaque jour qu’il passe loin de Dieu est un jour qu’il ne pourra jamais, jamais récupérer. Ces jeunes amoureux ne s’arrêtent pas pour réfléchir au fait qu’ils devront rendre compte de leurs actions dans l’après-vie. Cette femme croulant sous les achats n’a probablement jamais accordé une pensée à la véritable valeur de la vie. En toute probabilité, aucun d’eux ne croit même en l’après-vie.  Ils sont tels les Romains qui se tenaient aveuglément de côté alors que notre Seigneur était crucifié. Si jamais ils s’arrêtent pour penser à l’après-vie, ils se disent probablement qu’ils mourront et seront mis dans un cercueil et enterrés, et c’est tout.
« Sauf que, mes frères et sœurs, ce n’est pas tout. J’ai fait beaucoup de boulots dans ma vie, et l’un d’eux était assistant dans une morgue. Je vous parle donc en connaissance de cause. Quand vous mourez, ce n’est pas la fin. C’est juste le début. J’ai vu ce qui arrive aux morts de mes yeux vu. »
[…]
« Peut-être notre jeune homme important avec son téléphone portable aura-t-il suffisamment de chance pour se faire enterrer au milieu de l’hiver. Cela a tendance à ralentir le processus. Mais tôt ou tard – en général tôt – les invités au repas débarquent. En premier ce sont les mouches à viande, Phormia regina, qui viennent pondre leurs œufs. Dans un cadavre frais, la population explose d’une certaine manière. Ce genre d’explosion de la population – on parle d’une demi-douzaine de générations ici – résulte en des dizaines de milliers d’asticots, toujours en mouvement, toujours affamés. Les larves elles-mêmes génèrent une telle chaleur que celles au centre doivent ramper vers les bords pour se rafraîchir avant de se remettre à l’œuvre. Sous la photographie en accéléré, cela devient une tempête bouillante, agitée. Et, bien évidemment, les asticots ne sont que les premiers arrivés. Avec le temps, l’odeur de la décomposition amène tout un tas d’autres espèces. Mais je ne vois pas l’utilité de vous embêter avec les détails.
« Tant pis, mes amis, pour l’idée de demeurer en paix.
« Alors peut-être, notre jeune ami au téléphone portable optera-t-il pour la crémation. Cela ne laisse aucun corps disponible pour être violé, au cours de nombreuses années, par les scarabées et autres vers. La crémation est certainement un moyen rapide, digne, de mettre fin à notre forme humaine. Ne nous dit-on pas cela ?
« Alors laissez-moi être celui qui vous expliquera, mes frères et sœurs, qu’aucune mort n’est digne lorsqu’elle nous saisit hors de la vision de Dieu. J’ai assisté à plus de crémations que je ne pourrais compter. Avez-vous une idée quelconque de la difficulté qu’il y a à brûler un corps humain ? Quelle chaleur cela requiert ? Ou ce qu’il arrive lorsque le corps entre en contact avec une flamme chauffant à six cents degrés ? Je vais vous le dire, mes amis, et vous me pardonnerez de ne pas vous épargner les détails. Vous verrez qu’il y a une raison pour laquelle je ne vous épargne pas.
« Tout d’abord les poils, de la tête aux pieds, sont carbonisés dans un brasier de fumée bleue. Ensuite le corps se raidit, tel un militaire lors d’un passage en revue. Ensuite le corps essaie de s’asseoir. Peu importe que le couvercle du cercueil fasse obstacle, il essaie quand-même de s’asseoir. La température monte, à peut-être huit cents degrés. C’est à ce moment que la moelle bout et que les os eux-mêmes commencent à éclater, la colonne vertébrale explosant telle une mitraillette de pétards.
« Et la température continue à monter. Mille degrés, mille cinq cents, deux mille. Les éruptions se poursuivent, faisant retentir le four comme autant de coups de feu – mais là encore je m’abstiendrai de nommer exactement ce qui explose à ce niveau. Laissez-moi seulement vous dire que cela dure jusqu’à trois heures avant que la dépouille ne soit réduite à des cendres et des fragments d’os.
« Pourquoi ne vous ai-je pas épargné les détails, mes frères et sœurs ? Je vais vous le dire. Parce que Lucifer, le prince des ténèbres, qui ne dort jamais dans la poursuite infatigable de la corruption, ne vous épargnera pas, lui non plus. Et les feux de ce crématorium brûlent à des températures bien plus fraîches, et bien plus brèves, que les feux auxquels l’âme de cet important jeune homme est certainement destinée. Deux mille degrés ou dix mille, trois heures ou trois siècles – tout cela n’est rien pour Lucifer. Cela représente tout juste un chaud vent printanier soufflant pour un instant tout ce qu’il y a de bref. Et quand vous essayez de vous asseoir dans ce lac de soufre brûlant – quand vous cognez votre tête sur le toit de l’enfer et retombez dans cette flamme inextinguible, brûlant d’une telle chaleur qu’elle dépasse la capacité de mes pauvres mots à l’exprimer – qui entendra vos prières ? Personne. Vous avez déjà eu une vie entière pour prier, tragiquement gaspillée. »

[…] « …La crypte ou le crématorium, l’asticot ou la flamme – vous devez tous bien comprendre que cela ne fait aucune différence. Quand votre âme sera mise à nue devant le juge de tous, quel sera votre bilan ? Je vous demande de regarder à l’intérieur de vous-même maintenant, en silence ; et en silence de vous juger. […] »

Douglas Preston & Lincoln Child, Brimstone, 2004

devil be like


le diable (John Glover), Brimstone

mercredi 2 décembre 2015

Eric Dubay Comedy Show


La vidéo n'est pas traduite mais elle est hi-la-ran-te! Eric imite 4 personnes du mouvement: Paul Michael Bales (connaît pas), Patricia Steere (voir l'image), Mark Sargent, et Jeranism, et il déchire comme on dit!! Il se fout de leur gueule mais c'est vraiment marrant ET en plein dans le mille pour ceux qui sont familiers avec les vidéos.

E.T. téléphone melon

...foutu reconnaissance vocale!

Ah là là, tout ce business avec les extra-terrestres est bien fastidieux. Et le fait que nombre de gens se feront avoir quoi qu'il arrive l'est encore plus...




Une comparaison frappante peut être faite entre les occupants des OVNIs et l’idée populaire des démons. L’examen médical auquel les personnes enlevées sont supposément soumises, souvent accompagné d’une manipulation sexuelle sadique, rappelle les histoires médiévales de rencontre avec des démons.

Jacques Vallée


Des milliers de livres ont été écrits sur le sujet de la démonologie, qui est l’étude ancienne et rigoureuse des monstres et démons. Les manifestations et exemples décrits dans cette littérature sont identiques au phénomène des OVNIs. Les victimes de possession démoniaque souffrent des mêmes symptômes médicaux et émotionnels que les personnes entrées en contact avec des OVNIs.

John A. Keel




La Terre est bleue comme une orange

Sauf depuis l'ISS où elle est verte comme un écran d'Hollywood!


Vous noterez qu'après les panneaux "solaires," la Terre a disparu...! Houdini bosse-t-il à la NASA?